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Qu'on ne se méprenne pas ! Ma formulation me semble maladroite : très loin de moi de mettre en cause un travail remarquable à tous égards que moi même j'aurais de la peine à réaliser !
Ma question s'oriente vers le fait que nous avons de temps en temps des patients qui ont des exigeances qui risqueraient de nous entrainer vers le hors ethique ou même vers des problèmes avec les assurances sociales (p ex le cas de dévitalisations qui seraient qualifiées d'indication usurpée)
Quelle conduite à tenir ? |
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