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                            |  | Le postulat de la stabilité des amalgames défendu par les autorités dentaires ne tient pas face aux lois de la physique et de la chimie. 
 Un simple calcul théorique donnerait une libération de 274 µg de mercure par jour si 10 amalgames en bouche ne perdaient ne serait-ce que 1% de leur mercure chaque année (ce qui serait considéré comme stable par des chimistes travaillant sur la corrosion des métaux). Ces 274 µg/j dépasseraient donc largement la dose journalière admissible de mercure ingéré de l’OMS qui est de 43 µg/j.
 
 En effet, un amalgame en bouche émet des vapeurs de mercure et subit une corrosion mécanique, chimique, électrochimique et bactérienne. Sa structure évolue au cours du temps : des microcanaux, par lesquels le mercure continue à être éliminé, apparaissent (visibles au microscope électronique).
 http://nonaumercuredentaire.free.fr/rapofpar.htm
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                            |  | Salamandre je ne cherche nullement a convaincre qui que ce soit, mais faire tt ce que je peux pour la bonne santé de mes patients, je garde donc l  esprit ouvert et essaye de développer mon sens critique
 alors j ai qq remarques a formuler
 le site se presente comme un rapport parlementaire alors qu il ne s agit que d un compte rendu pour ce fameux rapport dont il n est nullement indique la reference
 la bibliographie ne fait reference qu a des partisans au "non au mercure"
 les etudes scientifiques cites le sont sans references en outre le protocole de l etude sur les animaux n a pas ete valide scientifiquement (cf le site que j ai cité)
 En outre il n y a aucune alternative aux amalgames citee dans ce "rapport"
 enfin dans ce texte on passe de l amalgame au mercure sans aucune distinction entre ces deux materiaux (sauf de dire que l amalgame degage du mercure sans preciser l etude qui le demontre) et aussi il n est jamais indique que l amalgame est  un alliage, cela eviterait-il de parler des proprietes des alliages ?
 
 Si les amalgames sont nocifs, si les composites le sont aussi, alors que devons-nous faire ?
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                            |  | Réponse à Alain Effectiffevement : inlay-onlay
 Didier
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